Tu t’accroches à ces deux coupes qui te pèsent tandis que « quelqu’un.e » s’obstine à te vider.
Quelle est cette ombre qui agit dans ton dos ? Quel est ce schéma qui se reproduit compulsivement ? Pourras-tu faire volte-face et ne plus subir ?
Pour l’instant, seul le poids de tes coupes te préoccupe. Cette tristesse est continue. Le poids de tes larmes ? Le poids de quelles larmes ?
Tu as le droit de pleurer. Tu as le droit de craquer. Tu as le droit de t’effondrer. Tu as le droit de ni rien comprendre. Tu as le droit de ne pas y arriver. Tu as le droit de pleurer. Tu as le droit de pleurer.
