J’ai l’impression que les pages/valets sont les cartes « de cour » qui ont le plus à m’apprendre.
On les considère comme les cartes des étudiant.e.s ou des enfants ou, en tout cas, de ces aspects de nos personnalités. D’ailleurs, après tout, c’est sans doute ceux qu’on réprime le plus. Que ce soit par souci de rentrer dans le moules, par nécessité de se conformer aux attentes (productivistes, capitalistes, psychonormées, hétérocisnormées, âgistes, etc) de ce qui fait un.e adulte, par crainte d’assumer nos zones d’ignorance ou de recommencer à zéro, ou pour plein d’autres raisons…
Les injonctions sociales et les pressions capitalistes (bien intériorisées) nous amènent souvent à nous dissocier de ces pages. Sans compter les violences qu’on fait subir aux enfants.
Je vais essayer de montrer plus de gratitude envers ces cartes et ce qu’elles m’apprennent quotidiennement.