Remember all the things that didn’t go through. How you liked them. How you wanted them to succeed. How hard it was to admit it just couldn’t work. You wanted to build something solid. But this was just not made to be for you. It’s time to cry over your hopes. It’s time to admire the wonderful energy you put into this dream. Only then will you be able to dream again.
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Dans mon cas, cette tristesse pourrait être celle des projets que ma santé ne m’aura pas permis de mener. La perte d’un éventail de possibilités car il faudra composer avec le SED. Même quand ça ira mieux, il faudra penser à l’incertitude. Pas de travail en freelance donc. Pas assez de fiabilité pour écrire ou tirer les cartes en indépendante complémentaire puisque je ne suis pas à même d’aller à mon taf salarié et encore moins d’avoir de l’énergie pour mes passions et ce que j’aimerais pouvoir offrir au monde. Et écrire. J’ai besoin de faire place aux regrets maintenant si je veux me construire une vie sociale et professionnelle ensuite. Je ne peux pas faire l’impasse sur ce processus. Il me faut donner libre cours aux regrets, à la tristesse, à mes cascades de larmes pour qu’elles ne viennent pas se loger dans des recoins où elles deviendront envahissantes et paralysantes.
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Sometimes you have to let go, cut the ties very quickly whilst sometimes your past dreams deserve some time to mourn.
