16 avril. Le capitalisme et les chocs. Divination dans les volutes de fumée. Certain.e.s se sont précipité.e.s sur leurs chéquiers. Chance inespérée, la possibilité pour la France de combler son « retard » dans la privatisation de la culture et du « patrimoine ». Les chocs, s’empresser de déclamer les formules. Il y aura un avant et un après, répète après moi. Austérité, priorité, charité. Un avant, un après. Figer les volutes de fumée dans les esprits.🗡️
Ça ne dérange pas les catholiques, trop content.e.s d’expier leurs viols et autres abus dans des prières ostentatoires. C’est qu’yels en ont cramé.e.s, des innocent.e.s, au nom du pouvoir. Yels connaissent l’impact des images. Leurs oracles parlent d’espéranceuh. L’après. Pour absoudre les péchés. Chocs. Enterrer la continuité. Au piloris, les subtilités. Au bûcher. Rise like a Phoenix.🗡️
Le pouvoir se nourrit des chocs, toujours à-propos.
🗡️
(J’essaie souvent de comprendre pourquoi cette chanson me revient souvent de quand j’étais catholique, comme à Taizé, en chœur, en boucle, à l’unisson. Dans nos obscurités, allume le feu qui ne s’éteint jamais, ne s’éteint jamais.)🗡️ (Notre-Dame, je la voyais quand j’étais enfant. Comme celle de Lourdes, déesse des sources, présence archaïque, primordiale, vitale, Belisama. Je voulais lui construire un autel de pierres. Mais la source pouvait se passer de mes édifices. Je me suis posée près des puits avec mon chien.) 🗡️(les torches d’Hécate)