đTa solitude devient ton Ă©clat. La tĂȘte levĂ©e dans la nuit, tu appelles ta meute. Les marginaux.ales dans ton genre reconnaissent tes cris, ton halo, tes blessures, tes idĂ©es dĂ©calĂ©es, ce que ça fait d’ĂȘtre exclu.e. Yels rĂ©pondent Ă l’appel de ce qui te distingue Ă leurs yeux, mĂ©lange de ton propre parcours et d’expĂ©riences communes.
đTes cris, Ă la lueur de la pleine lune, appellent ta meute. Ils rappellent aussi Ă toi toutes les parties de toi. La Lune te rend plus entiĂšre. Elle te rend Ă toi-mĂȘme. C’est pas plus simple comme ça. Mais c’est plus toi.